vendredi 21 septembre 2012
Passion, stress et raison
En préparant une conférence pour une entreprise, je feuillette quelques anciennes enquêtes d'opinion sur les jeunes et leur choix de carrière. Je relis ainsi une enquête de l'IFOP sur la "génération numérique" qui date de 2010.
Les jeunes choisissent-ils leurs études par passion (suivant leurs centres d'intérêt) ou par raison (les débouchés à la sortie, les conseils de papa et maman) ? Réponse : ça dépend des étudiants. Ceux qui sont en Lettres et en Psychologie par exemple ont surtout suivi leur passion. Ceux qui sont en Économie et en Gestion ont davantage écouté leur rationalité que la moyenne.
Je relis un autre sondage qui porte, lui, sur le niveau de stress. Les étudiants les plus stressés sont ceux qui suivent des études littéraires et en sciences humaines (ils se demandent ce qu'ils vont faire après), tandis que les plus zen ceux sont qui étudient la gestion et l'économie.
Bref, si l'on croise ces deux sondages, le dilemme semble cruel : soit en suit ses passions mais on le paye par du stress, soit on met ses passions de côté pour être moins inquiets.
La solution pour éviter de se retrouver dans la position de Rodrigue dans Le Cid ou bien dans celle de l'âne de Buridan hésitant entre étancher sa soif ou sa faim en priorité ? Faire médecine ! En effet, ces étudiants sont les seuls à conjuguer à la fois un haut niveau de passion et un faible niveau de stress !
Malheureusement, tout le monde n'a pas cette vocation...
Les jeunes choisissent-ils leurs études par passion (suivant leurs centres d'intérêt) ou par raison (les débouchés à la sortie, les conseils de papa et maman) ? Réponse : ça dépend des étudiants. Ceux qui sont en Lettres et en Psychologie par exemple ont surtout suivi leur passion. Ceux qui sont en Économie et en Gestion ont davantage écouté leur rationalité que la moyenne.
Je relis un autre sondage qui porte, lui, sur le niveau de stress. Les étudiants les plus stressés sont ceux qui suivent des études littéraires et en sciences humaines (ils se demandent ce qu'ils vont faire après), tandis que les plus zen ceux sont qui étudient la gestion et l'économie.
Bref, si l'on croise ces deux sondages, le dilemme semble cruel : soit en suit ses passions mais on le paye par du stress, soit on met ses passions de côté pour être moins inquiets.
La solution pour éviter de se retrouver dans la position de Rodrigue dans Le Cid ou bien dans celle de l'âne de Buridan hésitant entre étancher sa soif ou sa faim en priorité ? Faire médecine ! En effet, ces étudiants sont les seuls à conjuguer à la fois un haut niveau de passion et un faible niveau de stress !
Malheureusement, tout le monde n'a pas cette vocation...
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire